Vous êtes nombreux lors de mes déplacements en tant que formatrice ou conférencière à me demander ce qu’est un bilan de compétences. Evidemment, lorsque j’interviens sur le bien-être au travail, je mentionne systématiquement ce dispositif.
D’ailleurs, je suis à chaque fois surprise du manque d’information à ce sujet et surtout je ne comprends pas pourquoi les entreprises voient tellement d’un mauvais œil ce procédé.
Quel plaisir d’avoir du personnel motivé et adapté au poste de travail ; quel plaisir de proposer à son équipe de faire le point au moins tous les cinq ans sur ses compétences et son évolution dans l’entreprise !
Quel plaisir de proposer des formations courtes ou longues à ses collaborateurs pour les aider à rester impliqués et mobilisés dans la vie de la société !
C’est justement à cause de ce vrai problème d’information que je consacre sur mon blog (laurencebenatar.wordpress.com) une rubrique « bilan de compétences » pour inciter les individus à réfléchir à leur trajectoire professionnelle.
L’objectif est toujours lié au cœur de ma mission : Vous aider à trouver votre place dans la vie au niveau personnel et aussi se sentir bien et légitime à son poste de travail.
Colère, tristesse et inquiétude m’envahissent lorsque j’apprends que des personnes tombent en dépression à cause de leur travail et certaines autres en arrivent au suicide.
Si seulement ces personnes pouvaient être dirigées vers ce genre de dispositif, en plus d’un accompagnement psychologique, pour pouvoir de toute urgence exprimer leur mal-être et se libérer des idées noires.
Si seulement ces personnes osaient faire un break dans leur enfer en faisant appel à une personne neutre, souvent bienveillante, pour les aider à comprendre ce qu’elles vivent et voir le jour.
Si seulement elles pouvaient garder la tête hors de l’eau et envisager un avenir meilleur, envisager un avenir tout court !
En France, heureusement, certaines personnes décident de s’en sortir et décident de mettre en place un bilan de compétences. Ce qui est révélateur est que plus de 80 % des bilans sont effectués en toute confidentialité (sans en informer l’entreprise), et financés par un organisme collecteur (Fongécif par exemple).
Est-il honteux de vouloir faire le point sur son activité professionnelle ? Doit-on se cacher pour se renseigner sur ses pistes d’évolution ? Enfin, est-il normal d’organiser « en cachette » une reconversion pour se sentir enfin à sa place ?!
Je choisis de rester optimiste et de croire que de plus en plus d’entreprise proposent à leurs salariés de réfléchir à leur carrière. A ce titre, 10 % des bilans de compétences sont pris en charges par le DIF ou le plan de formation. Très peu de bilan bénéficient d’un auto-financement. Il est d’ailleurs toujours bon de faire valoir ses droits, après tout, on cotise tellement !
Quel que soit votre type de financement, ce qui compte est de passer à l’action dès aujourd’hui.
Vous trouverez les informations techniques sur le déroulement d’un bilan de compétences en cliquant sur mon site : www.carriere-et-image.com rubrique « bilan de compétences ».
Afin de répondre à une large demande, je réalise également des bilans de compétences en ligne, pour recevoir des informations et tarifs à ce sujet, vous pouvez m’adressez une demande par email : laurencebenatar@yahoo.fr
A quel âge entreprendre un bilan de compétences ? : A suivre sur mon blog : laurencebenatar.wordpress.com
A très bientôt !
Laurence BENATAR
Fondatrice de Carrière et Image
Psychosociologue -TéléFormatrice
Mon blog : laurencebenatar@wordpress.com
Mon site : www.carriere-et-image.com
Les motivations personnelles sont multiples : analyser ses compétences pour par exemple pouvoir les mettre en valeur lors d’entretiens, réorientation professionnelle, évoluer dans l’entreprise, entreprendre une VAE…